Les fenêtres qui parlent – expo à Lille

Avec 12 autres auteurs, je participe à la manifestation Lilloise « Les fenêtres qui parlent », evênement sur plusieurs semaines qui mêle bande dessinée, architecture, pour que l’art habite la ville, et surtout ses fenêtres. Le vernissage est le weekend du 11/12 mars, mais les planches sont révélées au fur et à mesure dans toute la ville. voir infos sur leur site.
Pour les planches en elles-mêmes, il fallait qu’elles soient en format 60cm par 80cm, et qu’elles se basent le plus près possible sur ce thème :

« Beau comme la rencontre fortuite sur une table de dissection d’une machine à coudre et
d’un parapluie ; ou encore, comme la vibration luminescente de 10 bougies d’anniversaire à
travers des carreaux flamands ; ou plutôt comme un angle à perte de vue de grues
migratrices, navette flexible et puissante entre Courtrai, Montréal, Istanbul et Tournai ; et
surtout, comme la rumeur joyeuse à chaque printemps par-dessus l’embrasure des Fenêtres
qui parlent ! » (Robert Rapilly, source Isidore Ducas)

Ma participation : 

 

 

 

mémoire

J’ai bouclés pas mal de travaux d’illus ou de BD ces derniers mois, que je mettrais en ligne ce weekend (en messages antidatés afin que ce blog conserve sa fonction d’aide mémoire pour moi). Mais maintenant, et jusqu’à fin Mai, je vais devoir me consacrer à l’écriture de mon mémoire de fin de master d’une centaine de pages (oh oui ! encore taper 100 pages ! youpiii !). Je continue le même sujet que le premier volume que vous pouvez lire plus bas, c’est à dire une analyse anthropologique du geste créatif. Celui-ci s’attardera sur les manifestations sociales du processus de création. Si tout va bien, vous pourrez même m’écouter en parler pendant le colloque « la construction des images » qui aura lieu à Lyon début Octobre. Mais j’en reparlerais quand j’aurais toutes les infos. tchouss à vous, je retourne à Howard Becker.

24h de la BD 2011 – Popeye

Ma participation aux 24h de cette année. Bien que le thème étant Popeye, j’en profite toujours pour essayer d’aborder cette manifestation et le festival en général dans les strips eux-mêmes. Cette année il fallait faire « entre 12 et 24 strips » et non plus planches, ce qui rendait l’exercice moins maso et c’était pas plus mal. C’est fait entre 17h et 5h du mat’ à l’eesi d’angoulême. Comme d’hab, c’était cool 🙂
Le site des 24h qui regroupe toutes les participations pendant un an : ici

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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